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Chloé Delage , qui réalise ce portrait se questionne…

Là, tout de suite, en commençant à écrire, je me demande bien quelle mouche m’a piquée… Mais quelle idée de me lancer dans l’écriture du portrait de Nadine Bégou! Une idée un peu folle certainement… folle parce qu’il me semble impossible de “résumer” Nadine et qu’il est difficile de la “poser sur du papier”…Je vais quand même essayer et tenter un portrait “Pop’Up” pour rester proche d’une réalité plus… vivante!

Bon, il a d’abord fallu la convaincre, ce qui, entre nous, n’a pas été une mince affaire, vous vous en doutez. L’idée d’être projetée à la une du site TE au travers de la newsletter entravait son profond sens de l’humilité. Mais la chance était de mon côté : je n’ai pas été la première à le lui proposer! Elle a dû se faire à l’idée qu’elle finirait bien par être prise à son propre jeu… car rappelons le principe, c’est à la personne qui se fait portraitiser de choisir sa future victime, et en réalisant mon portrait le mois dernier, elle a pris un énorme risque! Bon c’est relatif, on n’en meurt pas tout de même!

Cependant Nadine pilotant la mission TE, je ne pouvais pas vraiment faire un portrait classique… Nous (avec Caty Servat) sommes arrivées avec un long questionnaire, un peu original, avec des questions classiques autour de son travail et de sa vie personnelle et quelques autres plus intimes, pour lesquelles nous nous attendions à nous voir opposer des “joker” tant elle est discrète sur sa vie… Mais elle a joué le jeu, et nous l’en remercions.

Je tente aujourd’hui de vous transmettre par écrit, des petits fragments de sa vie, récoltés à Massat, par une chaude journée du joli mois de mai. Ces fragments, elle nous les a contés avec ces yeux pétillants que nous lui connaissons bien, et ces rires qui éclatent telle les fleurs de balsamine sous la pression des doigts d’enfants. Pop’!

Bon, voilà, vous savez tout sur le contexte, nous pouvons maintenant partir à la découverte de la face secrète de Nadine…

Du tac au tac…

Ton film préféré?
Il y en a deux, “Le Cercle des poètes disparus” avec Robin Williams, un peu mon acteur fétiche, … et “Mommy” de Xavier Dolan, pour son humanité.
Mais aussi, dans un autre genre, “Les médiateurs du Pacifique”. Ce film de Charles Belmont retrace un processus de négociations pour la paix engagé en Nouvelle-Calédonie (la mission du dialogue). Il reste une référence aujourd’hui en matière de médiation dans les conflits et est éminemment pédagogique. Il a aussi marqué mon histoire avec la Nouvelle-Calédonie.

Ton livre préféré?
“Le monde selon Garp” de John Irving, un livre complètement déjanté, décalé, mais avec un vrai univers! On aime ou on déteste!
Et… “La présence Kanak” de Jean-Marie Tjibaou.
Jean-Marie Tjibaou est l’homme public par lequel la Nouvelle-Calédonie a marqué la vie nationale et internationale. Au-delà de l’histoire qu’il retrace ce livre s’élargit à d’autres perspectives. Il pose notamment la question du colonialisme comme une interrogation plus générale sur l’exercice de la liberté dans la différence. Un livre super bien écrit et qui transpire l’authenticité.

Dans une autre vie, quel animal étais-tu et pourquoi?
Un panda, pour le côté gros nounours doux et sécurisant, et pour le noir et blanc, le yin et le yang. L’équilibre.

Quel était ton premier job?
“J’ai commencé à travailler dans l’animation à 17 ans, j’ai toujours travaillé dans l’animation en fait! Ce sont juste la nature de mes postes et mes responsabilités qui ont régulièrement changé”

Quelle est la gourmandise qui te fait craquer à tous les coups ?
Du tac au tac, elle me répond le chocolat (Et de suite remonte à ma mémoire sa délicieuse tarte poire/chocolat, que nous sommes nombreux.ses à connaitre…). Presque une passion, qui l’amène à la folie parfois; de source sûre il parait qu’une tablette peut y passer sur un trajet du magasin à la maison!

Si tu étais une émotion, laquelle serais-tu?
La surprise! J’aime bien être surprise par les situations, par les gens…

Un besoin prioritaire à tes yeux?
La sérénité, ça peut sembler contradictoire avec mon besoin de mouvement, de challenges, d’interrogations, “de trucs qui bougent”… et en même temps j’ai aussi besoin de beaucoup de sérénité, de plus en plus. J’assume mes contradictions!”
Pour cultiver la sérénité, Nadine aime se ressourcer dans les embruns, face à l’océan, mais aussi en montagne ou encore lorsqu’elle part de chez elle au petit matin, dans cette nature simple et sauvage qui l’entoure.

Si tu pouvais retourner dans le passé, que changerais-tu?
RIEN. Non pas qu’il n’y ait pas des choses qu’elle regrette…mais c’est du passé! Elle préfère avancer, laisser la place à ce qu’elle peut encore construire, changer, plutôt que de ressasser ce qui ne peut l’être.

Qu’emporterais-tu sur une île déserte ?
Je m’imaginais une réponse comme… un livre, mais non, Nadine me répond avec aplomb : “de l’eau”. Elle rit de sa réponse, un pragmatisme à toute épreuve!

Passée la phase “brise glace”, nous quittons les questions/réponses…

L’inconnu, sa source de motivation

Si elle se lève le matin pour aller travailler, c’est tout d’abord pour les gens qu’elle rencontre ou va rencontrer, car elle aime les gens, dans leur diversité! Et nombreuses sont les personnes avec qui elle a plaisir à travailler au quotidien!
En toile de fond c’est aussi parce qu’elle apprécie particulièrement le côté imprévisible de son métier, l’inconnu, l’incertain “ce que précisément tu ne sais pas quand tu te lèves le matin”. La surprise, l’obstacle, le challenge sont aussi pour elle, une réelle source de motivation.

Certaines rencontres professionnelles, inattendues, ont d’ailleurs vraiment changé sa façon de penser son environnement professionnel. L’une de celles qui l’ont profondément marquée, c’est la rencontre avec Alain BOLLON, expert international auprès de l’Unesco en évaluation des systèmes et des apprentissages.« Comment permet-on à un jeune ou à un adulte d’expliciter ce dont il est porteur ou ce qu’il est en train de construire pour pouvoir transformer ses acquis en compétences dans un contexte précis, quand il en aura besoin ailleurs »…C’est ça Alain Bollon!

” Je l’ai rencontré dans un groupe régional avec ma collègue Catherine Sené. Sa vision “décalée” de l’éducation a provoqué un réel déclic et nous a permis de faire un pas de côté… en fait, on complexifie trop les choses; ce qui est évident, on l’oublie. Lui, il rend tout plus évident. Ce qu’il nous a appris, on essaye de le réutiliser dans notre quotidien, dans la formation, dans nos accompagnements, cela nous permet de donner davantage de sens à ce que l’on fait.
Par exemple tout simple, plutôt que de parler de projet, de diagnostic, il nous invite à parler d’utopie, à interroger les “valeurs en souffrances” . Son approche nous a permis de sortir des cases, de sortir du carcan dans lequel nous nous sommes enfermés avec un jargon parfois incompréhensible pour l’entourage. Ca nous aide à revenir à plus de” simplicité.”

Dans le même esprit, le séminaire de Horse-coaching, dans lequel elle a embarqué les coordonnateurs et coordonnatrices de politiques éducatives locales il y a quelques années a été un autre déclic intellectuel. Et si vous en parliez à votre cheval…

“le cheval que tu as en face de toi, tu le regardes, et tu te vois fonctionner…c’est un miroir! Une expérience exceptionnelle”

Cette méthode permet de revenir aux fondamentaux du management et du travail en équipe.

Se regarder fonctionner avec l’esprit critique, déconstruire pour reconstruire, ça ne lui fait pas peur, c’est pour elle une véritable source de progression, de transformation.

Dans sa mission à Territoires Educatifs, Nadine initie, impulse, est force de proposition, ce trait de caractère vient, sans nul doute, trouver sa source dans ses expériences personnelles; Nadine se questionne, recherche, expérimente, ancre… et cela éclot un peu plus tard, dans sa vie professionnelle.

Voyage au cœur de l’authenticité et de l’humilité

Si l’on remonte le fil de sa vie, Nadine ne serait probablement pas complètement la même sans ce voyage et ces cinq années passées en Nouvelle Calédonie.

Professionnellement, c’est quelque chose qui m’a vraiment changée. Vraiment.
C’est la première fois que je me suis sentie utile. J’ai senti que mon action avait du sens. Et puis j’ai appris l’humilité et la relation humaine vraie…Les Kanaks ont la culture de l’oralité. C’est ce qui m’a le plus touchée. La parole qui est dite, les mots choisis, ne le sont jamais par hasard, ils ont de la valeur; ils sont le reflet d’un cheminement. Cela m’a bousculée, et m’a profondément changée dans ma façon d’être avec les autres, à l’écoute des autres, d’aller chercher le meilleur chez les autres, de leur tendre la main.”

Pourtant, les 6 premiers mois ont été très durs, elle se serait plus d’une fois sauvée par le premier avion qui quittait l’île…

“tu arrives, tu es le zoreille, tu es le métropolitain, le colonialiste. Celui qui vient pour prendre la place de quelqu’un au local. Et pour ça tu es mis à rude épreuve. Si tu tiens le coup, si tu écoutes au vrai sens de l’écoute…c’est que du bonheur après!

Et c’est ce qu’elle a fait, patienter, humblement. Elle en garde encore le tempérament aujourd’hui : garder confiance malgré tout et persévérer. Ces dernières années, elle a de nombreuses fois relevé de sacrés challenges! D’autres peuvent témoigner…

Pour illustrer ce propos, lorsque nous avons demandé à Nadine de nous raconter une anecdote amusante sur son métier, voici ce qu’elle nous a partagé :

“C’était lors de ma première semaine en Nouvelle Calédonie. Avant d’attaquer mon poste à la mairie de Dumbéa, j’ai encadré un stage BAFA « en Brousse ».
Le lendemain de la première nuit, je me suis retrouvée à table avec un groupe d’animateurs kanak qui parlaient des petits lutins qui avaient traversé leur chambre dans la nuit.
J’ai hésité entre éclater de rire ou leur demander s’ils se moquaient de moi…j’ai finalement opté pour une attitude d’écoute qui m’a permis de mettre les deux pieds dans la culture locale et d’apprendre à entendre l’implicite. Une jolie leçon !”

“Il y a une faille dans chacun, mais c’est par là qu’entre la lumière”
Cette phrase qu’elle affectionne tout particulièrement illustre bien la façon dont elle entre en relation avec les gens autour d’elle. On ne peut pas aimer tout le monde, certes, mais si l’on doit être amenés à faire un bout de chemin ensemble, autant travailler avec la lumière de chacun.e.
Elle a toujours voulu tisser du lien, permettre la rencontre, la compréhension…apprendre à travailler avec des gens très différents.

Elle aime aussi cette citation de Spinoza sur le déterminisme : “Les hommes se trompent quand il se croient libres, cette opinion consiste en cela seul qu’ils sont conscients de leurs actions et ignorants des causes par lesquelles ils sont déterminés”

“Étant issue d’une famille ouvrière, j’ai pris conscience très tôt du fait que tu n’es pas traitée pareil quand tu es enfant d’ouvriers ou que tu es issue d’un milieu social plus “élevé”. Le risque est de plus de vivre un phénomène d’auto-censure qui n’est pas forcément conscient. Tu te retrouves ancré dans une catégorie de laquelle tu as du mal à sortir. Je pense que si j’ai fait ce métier, c’est pour lutter contre tous les déterminismes. Même si j’ai conscience que nous ne sommes pas complètement libres…”

Cultiver l’authentique, comme dirait Pagnol…

Vous l’aurez compris, Nadine aime les relations authentiques, sincères, les relations simples, lorsqu’on se dit les choses, qu’on n’y va pas par 4 chemins, d’ailleurs, si elle était un animal, elle serait une taupe, pour démasquer les non-dits, les faux-semblants, ce qui mijote dans les souterrains et nous empêche de vivre des relation vraies.

Il faut quand même préciser que, passée la période initiatique des 6 mois, la Nouvelle Calédonie, ce ne fut (presque) que du bonheur! Et après ces 5 longues années passées à l’autre bout du monde, ce fut pour elle une vraie tristesse de s’arracher à cette terre d’adoption.

Depuis, Nadine chemine avec toujours autant d’engagement et de vitalité, sur ce sentier sinueux qu’est la vie professionnelle, parfois parsemé d’embuches et d’animaux effrayants, et parfois jouxtant les prairies verdoyantes et les cours d’eau limpides et accueillants…

Mais la fin de sa vie professionnelle se rapproche…! Nadine est née le 2 juin 1962, je vous laisse faire le calcul pour deviner quel âge elle aura tout bientôt… Oui, nous sommes bien d’accord, elle ne les fait pas!!
Elle a la fougue de la jeunesse et la classe des grandes dames, ce qui lui donne un air intemporel, les années ont l’air de glisser sur elle, discrètement, sans laisser de traces.

Bientôt, elle va pouvoir s’atteler pleinement et avec intensité, à son nouveau défi, et il n’est pas des moindres : les 100 choses qu’elle voudrait faire avant de mourir! Elle a déjà commencé depuis quelques années (un master 2 avec mémoire de recherche, une rando à cheval en Camargue pour piquer un bon galop sur la plage …) et elle a accepté de nous partager quelques unes de ces prochaines étapes…

La première, comme un cri du cœur : “Prendre ma retraite d’ici 5 ans!” Mais sachez qu’elle rêve aussi de…

• Faire le GR20 en Corse
• Aller voir une aurore boréale
• Faire un stage de chant en Corse
• Faire un stage d’astronomie
• Aller au Canada…

Allez Nadine, Il ne faut pas traîner, tu as du pain sur la planche!! Et nous te souhaitons le meilleur, encore pour de longues années!

Témoignages surprises…

« Quand tu parles avec Nadine, tu comprends que c’est pas tout simple. Qu’éduquer, c’est un peu trop sérieux pour laisser les choses au hasard. Quand tu parles avec Nadine, tu t’appliques.

Quand tu parles avec Nadine, t’as intérêt à être costaud dans tes arguments. Il te faut être certain du terrain où tu t’avances. Quand tu parles à Nadine, prends le temps et prépare-toi à débattre.

Quand tu parles à Nadine, prépare-toi à t’engager. Pas de demi-mesure, pas de demi-teinte. Tu y es, ou pas ? Quand tu parles à Nadine, faut savoir.

Quand tu parles à Nadine, des fois ça chauffe. Il parait que c’est comme ça dans le Sud. Ça doit être les conséquences d’un changement temporaire d’hémisphère. Nadine, le Sud, elle connait.

Quand tu parles à Nadine, tu grandis. Comme avec tous ces gens qui te font réfléchir. Tu remplis ton escarcelle de trucs à explorer, que t’aurais pas osés ou que t’aurais pas imaginés. Quand tu parles à Nadine, tu fais le plein, et c’est gratos.

Quand tu parles à Nadine, t’as l’impression d’être quelqu’un. T’es considéré, écouté, entendu souvent. T’as face à toi des yeux qui pétillent, un sourire qui s’allume, un fou rire qui explose.

Quand tu parles à Nadine, t’as de la chance. »

Matthieu D

« Murmures

On m’invite à un murmure pour une pensée singulière à l’attention d’ une personne unique : Nadine B… une Volontaire, exigeante et perfectionniste, elle demande beaucoup, mais assume toutes les responsabilités qui lui échoient.

J’ai appris à découvrir derrière cette force qu’elle renvoie, une belle femme émotive et sensible, avec cette tendance à intérioriser ses sentiments et ses émotions, à les accumuler pour laisser entrevoir quelques reflets de son âme.

NADINE est très intuitive, elle ressent les êtres et les situations. Son aptitude à ressentir les personnes et les événements l’éclaire pour cette profession militante où la prise en compte des autres est capitale.

Elle nous pousse dans nos retranchements professionnels pour nous aider à sortir l’essentiel et le meilleur de nos fonctions au service du public pour lequel on agit… Elle sait se faire détester pour aussitôt se faire aimer quand elle révèle ses intentions enfouies.

Tu nous fait grandir et à tes côtés tu nous a appris à nous révéler en nous mettant en équilibre… et pour moi tu m’as fait comprendre l’essentiel de la vie :

…un jour on s’en fout et putain que ça fait du bien ! »

Olivier R

« Nadine, que dire ? Elle nous fait avancer ! Elle fait vivre depuis de nombreuses années un projet collectif. Elle nous bouscule et nous secoue pour nous faire grandir !

Que de chemin parcouru ensemble, de graines de mômes à nos politiques jeunesses locales qui sont en train de se structurer, enfin…

Notre dernière discussion c’était de se dire que nous sommes en perpétuelles expérimentations dans nos métiers. Parfois ça nous épuise et puis on trouve un second souffle pour repartir et se dire que nous participons à l’essaimage de ces projets…

Que Nadine est notre colibri au service de nous toutes et tous les coordonnateurs de politique éducative locale, elle nous amène de quoi nous alimenter goutte après goutte pour construire ensemble un bateau qui vogue sur le fleuve au gré des tempêtes et des vagues… en évitant de s’échouer et en avançant en gardant le cap… »

Magali T

« Nadine pour moi signifie : confiance, enthousiasme, énergie, elle me fait penser à un phare ancré dans l’océan.

Elle est lumineuse, un repère rassurant, elle guide vers les différents caps à franchir dans les eaux de la connaissance, amène à se nourrir l’esprit, à ne pas s’endormir, à se transcender dans les moments houleux ou calmes.

Je te remercie pour toute l’aide que tu m’as apportée, ta bienveillance, tes rires et ta fameuse tarte poire-chocolat. »

Caty S

« L’hommage est plus que mérité, et tu risques d’avoir trop de matière pour faire son portrait !

Parler de Nadine en quelques lignes est en effet un exercice difficile tant sa personnalité est riche !

Je dirais qu’elle réussit l’exercice périlleux de s’inscrire dans le temps, avec une grande constance, aux côtés de tous les coordos, tout en arrivant à réinventer son approche du monde éducatif ; elle nous apporte toujours des outils nouveaux, un angle de vue différent qui oblige à nous réinterroger sur nos postures et fonctionnements et donc à avancer.

Par ailleurs, elle est totalement convaincue et impliquée dans son travail, c’est une « militante éducative » ! Elle nous communique cette belle énergie dans une dynamique départementale, que nous pouvons ensuite transmettre sur nos territoires.

Nadine est enfin bienveillante, respectueuse des institutions tout en étant très franche. C’est très très motivant de travailler avec elle… »

Chistine C

« Nadine, une personne d’une richesse inestimable, une agitatrice d’idée, une dévouée de l’éducation populaire, un guide pour faire avancer l’Ariège et l’ensemble des territoires pour l’enfance et la jeunesse.

C’est grâce à toi si le réseau des professionnels et des coordonnateurs vit en Ariège. C’est grâce à toi si la politique éducative Ariégeoise se développe et est reconnue aux delà de notre Région et de nos frontières.

Vraiment merci pour tout ce que tu fais. Bises.

Nathanaël B

1.2.3.partez! Mission enfance jeunesse et territoire
Tu tiens le cap avec passion
Nous soutiens avec conviction
Nous accompagne toujours plus loin
Partage, transmets, mets à disposition
Outils, connaissances et réflexions
Compétences, avec détermination
Présente, disponible, bienveillante,
À l’écoute, conviviale, déterminée et impatiente
Nadine en tous points
Irremplaçable !
Avec toute mon amitié et plus encore

Patricia

Passé le stress du challenge (…) ce fut un grand honneur pour moi de réaliser ton portrait Nadine, comme un hommage que je peux publiquement te rendre, te remercier pour ton précieux soutien, de si nombreuses fois, tout au long de ma mission de coordination, et par la suite, dans le développement de mes nouvelles activités professionnelles. Un sincère et grand MERCI pour tout ça et saches que c’est un vrai plaisir de travailler à tes côtés.

Merci à Caty Servat, de m’avoir soutenue et accompagnée dans cette folle aventure!

Interview et portrait réalisé par Chloé Delage